Pour le Mister que j'aime bien, avec un joli sourire... Oui, c'est toi ^^ Ne fais pas le timide !

Drôle de pseudo, pas de joli mot. Un peu "sarrow and sadness" comme sur tes dessins d'ange, ou de personnages plein de tendresse... Je cherchais un poème un peu "joyeux" pour que tu ailles mieux (dis donc elles sont beurk ces rimes ^^) mais je n'ai trouvé que celui-ci, en espérant qu'il te plaise et que tu veinnes le lire oubliant ton malaise...

Vert comme le citron ou vert de rage,
Rouge tomate ou blanc tel une page,
Orange comme le fuit, pale comme un linge
Bleu comme le ciel, luisant comme l’ange.

Fruit défendu, ou amour interdit,
Grand soleil, ciel nuageux et fine pluie,
Regards dérobés, puissants et infinis,
Personnage repassé et sans plis !

Jardin immense et roseraie fleurie,
Danse en jean, ou boxe en corsage,
Secrets cachés, dévoilés, ensevelis,

Il s’avance mais reste très sage,
Il hésite et recule, se contredit,
Il n’avouera pas son amour cette nuit !


Parce que je n'ai jms su écrire joyeux, je te fais qd mm plein de bisous !

PS : Nan mon cher mari c'est pas pr toi... Le mister se reconnaitra !

Le Mister Mistère héhé !

"Je suis l'Ange déchu, le Mort Eternel,
Prince de Bohème aux Royaumes Envolés.
Epris je fus d'une belle
Avant qu'elle ne m'eut condamné...

Vous, ma Dame, avez su redonner,
A cette âme qui fut bafouée,
Les courage et force nécessaires
Pour retrouver une vie si chère.
Vous m'avez ouvert votre coeur
Pour m'y plonger avec langueur...

Permettez alors, ma Reine,
Que je vous ouvre le mien
Pour que vous y voyiez
Les joies et les chagrins
D'un Roi à jamais destitué.

Vous y sûrement verrez
Des règnes d'années ;
Mais à y bien regarder
Vous pourrez alors voir
S'effacer les traces d'un règne noir
Et nouvel et vôtre Royaume
Naître et grandir nouvelle Rome. "

Tu "sympatise" avec chaque membre du forum?

Je n'ai plus en "stock" de poème assez bien pour toi, pour répondre au tien... Alors a Verlaine j'ai fait un emprunt...

"Le couchant dardait ses rayons suprêmes
Et le vent berçait les nénuphars blêmes ;
Les grands nénuphars entre les roseaux
Tristement luisaient sur les calmes eaux.
Moi j'errais tout seul, promenant ma plaie
Au long de l'étang, parmi la saulaie
Où la brume vague évoquait un grand
Fantôme laiteux se désespérant
Et pleurant avec la voix des sarcelles
Qui se rappelaient en battant des ailes
Parmi la saulaie où j'errais tout seul
Promenant ma plaie ; et l'épais linceul
Des ténèbres vint noyer les suprêmes
Rayons du couchant dans ses ondes blêmes
Et des nénuphars, parmi les roseaux,
Des grands nénuphars sur les calmes eaux. "

Parce que tu as parcouru monts et vallées et que tu dois être fatigué par les kilomètres... Une simple pensée pour toi, pour que mieux tu sois (pff g perdu l'art d'écrire ^^)